Les supporteurs de Green Marine Europe encouragent et appuient l’initiative de développement durable entreprise par l’industrie maritime. Ces groupes environnementaux, scientifiques et agences gouvernementales contribuent à façonner le programme environnemental et reflètent sa pertinence et sa crédibilité.
L'ADEME est résolument engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation des ressources.
Sur tous les fronts, l'ADEME mobilise les citoyens, les acteurs économiques et les territoires, leur donne les moyens de progresser vers une société économe en ressources, plus sobre en carbone, plus juste et harmonieuse.
Dans tous les domaines - énergie, économie circulaire, alimentation, mobilité, qualité de l’air, adaptation au changement climatique, sols… - les équipes de l'ADEME conseillent, facilitent et aident au financement de nombreux projets, de la recherche jusqu’au partage des solutions.
À tous les niveaux, elles mettent leurs capacités d’expertise et de prospective au service des politiques publiques.
A l’initiative de la Fondation Prince Albert II de Monaco, la Fondation Tara Océan, Surfrider Foundation Europe, la Fondation Mava et l’UICN, Beyond Plastic Med (BeMed) a vu le jour en 2015 pour lutter contre la pollution plastique en Méditerranée. En janvier 2019, l’association de droit monégasque BeMed a été créée.
Ses missions : soutenir et mettre en réseau les acteurs engagés contre la pollution plastique en Méditerranée ; faciliter la mise en œuvre de solutions efficaces et durables ; encourager le partage d’expériences et de bonnes pratiques
Pour répondre au mieux aux problématiques locales, BeMed soutient chaque année des projets visant à réduire l’utilisation du plastique, trouver des alternatives, améliorer les systèmes de collecte, sensibiliser, collecter des données, mobiliser les acteurs et aider à la mise en place de nouvelles réglementations.
En janvier 2020, BeMed a créé son Collège d’Entreprises, réunissant les entreprises qui souhaitent s’engager pour une Méditerranée sans plastique.
La Conférence des Régions Périphériques Maritimes (CRPM) rassemble plus de 150 Régions issues de 24 États de l’Union européenne et au-delà.
Représentant près de 200 millions de citoyens, la CRPM et ses six Commissions Géographiques agissent en faveur d’un développement plus équilibré du territoire européen. Elles opèrent à la fois comme un think tank et un lobby pour les Régions.
Grâce à son vaste réseau de contacts au sein des institutions de l’UE et des gouvernements nationaux, la CRPM œuvre, depuis sa création en 1973, pour la prise en compte des besoins et intérêts de ses Régions membres dans toutes les politiques ayant un fort impact territorial.
Son principal objectif se concentre sur la cohésion sociale, économique et territoriale, les politiques maritimes et la croissance bleue, et l’accessibilité territoriale.
EUROSIMA, l’association européenne des fabricants de l’industrie du surf, est une organisation à but non lucratif qui soutient et promeut de manière neutre les meilleurs intérêts de l’industrie du surf/des sports nautiques d’action et de ses membres. L’organisation peut fournir un soutien pour encourager de nouveaux développements économiques/investissements, maximiser les ressources humaines et améliorer les compétences de la main-d’œuvre afin d’aider les entreprises innovantes à poursuivre leur succès de manière responsable. EUROSIMA favorise l’innovation dynamique et durable au sein de l’industrie des sports nautiques d’action et de surf en aidant les innovateurs à se connecter au réseau de personnes et de ressources utiles de l’organisation.
La Fondation Tara Océan, première fondation reconnue d’utilité publique consacrée à l’Océan en France, mène une révolution scientifique autour de l’Océan. Elle développe une science de l’Océan ouverte, innovante et inédite qui nous permettra demain de prédire, anticiper et mieux gérer les risques climatiques. Elle utilise cette expertise scientifique de très haut niveau pour sensibiliser et éduquer les jeunes générations, mobiliser les décideurs politiques au plus haut niveau et permettre aux pays émergents et en développement d’utiliser ce nouveau savoir autour de l’Océan. Véritable laboratoire scientifique flottant, la goélette Tara a déjà parcouru plus de 450 000 kilomètres, faisant escale dans plus de 60 pays lors de 12 expéditions, menées en collaboration avec des laboratoires internationaux d’excellence (CNRS, CEA, PSL, EMBL, MIT, NASA…). La Fondation Tara Océan est Observateur spécial à l’ONU et participe activement aux Objectifs du Développement Durable de l’Agenda 2030 de l’ONU. Nous souhaitons faire de l’Océan une responsabilité commune.
Le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) est une organisation mondiale à but non lucratif qui aide les animaux et les hommes à prospérer ensemble. Les experts de l’IFAW et les particuliers travaillent par-delà les mers et les océans, dans plus de 40 pays du monde, pour sauver, réhabiliter et relâcher des animaux, ainsi que pour restaurer et protéger leur habitat naturel. Les problèmes auxquels sont confrontés les animaux sont urgents et complexes. L’IFAW associe une réflexion nouvelle à une action audacieuse pour tenter de les résoudre, en s’associant aux communautés locales, aux gouvernements, aux organisations non gouvernementales et aux entreprises pour trouver des moyens novateurs d’aider toutes les espèces à s’épanouir.
L’Institut océanographique Paul Ricard œuvre depuis presque 60 ans pour la protection de l’Océan et la préservation du climat et de la biodiversité.
L’institut allie recherche et mission de sensibilisation pour « connaître, faire connaître et protéger la Mer » et travaille sur la recherche de solutions fondées sur la nature, dans le cadre des objectifs de développement durable. Les axes de recherche, déterminés par les enjeux majeurs des décennies à venir, s’inscrivent dans des partenariats publics-privés-philanthropiques (PPPP).
Conscient des pressions pesant sur les ressources halieutiques et des problématiques de sécurité et de souveraineté alimentaire, l’Institut a depuis les 5 dernières années développé un pôle de recherche et d’expertise aquacole pour répondre aux enjeux de durabilité pour les activités marines.
Depuis sa création il y a 75 ans dans le sud-ouest de la France, Labeyrie Fine Foods s’efforce de permettre au plus grand nombre d’accéder à des produits exceptionnels autrefois réservés à un nombre relativement restreint de personnes. Labeyrie continue d’éveiller et de ravir de nombreuses papilles mais avec une mission redéfinie de consommation responsable.
Conscient de la nécessité de faire face à des déséquilibres environnementaux et sociaux pressants, Labeyrie est désormais animé par le désir de partager une nouvelle passion pour l’alimentation qui promeut et encourage spécifiquement l’indulgence responsable.
Créée en 1989, La Touline a fait de l’emploi maritime, son expertise. L’évolution des carrières est une action importante pour laquelle La Touline a acquis une vraie compétence. Elle se traduit par des actions de VAE (Validation des Acquis de l’Expérience), de conseils en orientation et en évolution professionnelle, en accompagnement de projet professionnel.
La Touline est reconnue d’utilité publique en 2010 et obtient l’agrément ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale). Pour ses actions de formation, elle est certifiée Qualiopi par le Lloyd’s Register (LRQA), société de classification reconnue dans le milieu maritime.
La Touline a également le statut de membre associé des services publics régionaux de l'orientation en région Bretagne et en région sud. La connaissance de l'environnement marin et de l’impact des métiers de la mer contribue à donner du sens aux métiers concernés, donc agit positivement sur l'attractivité des métiers auprès des jeunes générations.
Le Commissariat aux affaires maritimes agit en tant que prestataire de services et autorité de surveillance du secteur et en particulier des entreprises maritimes agréées qui opèrent à partir du Luxembourg. Il veille, sans préjudice des attributions des autres administrations, à l’application des dispositions prévues par la loi et est chargé de suivre l’évolution du droit maritime international, notamment au sein de l’Union européenne.
MARIN, l'Institut néerlandais de recherche maritime, est une institution indépendante de renommée internationale qui opère à l'échelle mondiale avec plus de 400 spécialistes de la modélisation des navires. Basé à Wageningen, aux Pays-Bas, ses recherches nautiques et hydrodynamiques visent à rendre les navires, les plateformes, les ports et les turbines - toute construction dans ou sur l'eau - plus propres, plus sûrs et plus intelligents.
Réalisant un chiffre d'affaires annuel d'environ 45 millions d'euros, MARIN combine ses méthodes de recherche indépendantes pour fournir des solutions pour le développement de concepts, la conception et l'exploitation de projets sur l'eau, tout en s'associant à d'autres pour stimuler les innovations au sein de l'industrie maritime et du domaine universitaire.
MARIN s'intéresse désormais aux solutions inspirées par la nature pour poursuivre sa mission, qui consiste à se concentrer sur une industrie maritime toujours plus sûre et plus propre, ainsi que sur l'utilisation durable des océans en termes d'approvisionnement en nourriture, en matières premières et en ressources énergétiques.
Ses propres essais sont en train de passer à l'utilisation de modèles moins nombreux, mais plus complexes, grâce à une numérisation et à des simulations accrues.
L’ONG Shipbreaking Platform est une coalition mondiale, dédiée à la promotion de pratiques sûres et durables dans l'industrie du démantèlement des navires. Elle surveille et dénonce les conditions dangereuses qui règnent dans les chantiers de démantèlement de navires, en particulier en Asie du Sud. Recherche et sensibilisation sont ses deux piliers stratégiques, avec pour objectif d’éradiquer l'exploitation des travailleurs, les risques professionnels et la pollution de l'environnement liés au démantèlement des navires. Shipbreaking Platform milite pour des normes internationales et des installations de recyclage durables, tout en sensibilisant le public et en suscitant des changements systémiques dans le secteur maritime.
OceanCare est engagé à protéger la faune marine depuis 1989. Par le biais de projets de recherche et de conservation, de campagnes, d’éducation environnementale et de participation à une série d’importants comités internationaux, OceanCare prend des mesures concrètes pour améliorer la situation de la faune dans les océans du monde. En 2011, OceanCare a obtenu le statut consultatif spécial sur les questions maritimes auprès du Conseil économique et social des Nations Unies.
Oceania, association de loi 1901, est basée sur l’île de Moorea en Polynésie française. Fondée en 2017 par Charlotte Esposito, elle a pour objectif d’assurer l’avenir des cétacés de Polynésie française grâce à des campagnes de prévention des collisions avec les navires assurant les liaisons entre Moorea et Papeete, à des études scientifiques, mais aussi grâce à la sensibilisation du grand public.
La Plateforme Océan & Climat a pour mission de favoriser la réflexion et les échanges entre la communauté scientifique, la société civile et les décideurs politiques. Regroupant de près de 100 organisations dans le monde – instituts de recherche, ONG, fondations, centres de culture scientifique, entreprises, collectivités – elle valorise la connaissance scientifique et promeut des solutions relatives à l’océan dans le cadre de la lutte contre le changement climatique. Organisation leader de la communauté océan-climat, elle détient le statut d’observateur au sein des conventions onusiennes sur le climat (CCNUCC) et la biodiversité (CBD) et participe à la revue gouvernementale des rapports du GIEC.
Association d'intérêt général fondée en 2019 à Biarritz, Waves of Change rassemble 200 acteurs (startups, investisseurs, entreprises, collectivités locales, instituts de recherche et ONGs) de 5 continents en juin pour son forum annuel et tout au long de l'année dans une coalition ayant pour but à travers ses projets collectifs de rendre ensemble la transition environnementale plus collaborative et écosystémique.
Sa mission et son action répondent à l'Objectif de Développement Durable n°17 des Nations Unies : Des partenariats pour atteindre les objectifs.
La nature des projets initiés et accompagnés a trait à l'innovation et/ou la préservation, avec toujours une notion d'œuvrer pour le bien commun.
En devenant supporteur, vous bénéficierez de:
Participer directement au développement du programme (enjeux environnementaux, exigences spécifiques, autres questions prioritaires et/ou enjeux émergents).
Encourager les participants à s'améliorer au-delà des exigences communautaires en ayant la possibilité de faire le lien entre les problèmes environnementaux pouvant découler des opérations maritimes, ainsi que les solutions potentielles.
Bénéficier d’une visibilité sur le site Web de Green Marine Europe, dans ses médias sociaux et l'infolettre du programme nord américain diffusée auprès de plus de 4500 abonnés.
Profiter de tarifs préférentiels lors du colloque annuel de l’Alliance verte (programme nord-américain), GreenTech.
Les supporteurs de Green Marine Europe encouragent et appuient l’initiative de développement durable entreprise par l’industrie maritime. Les organismes supporteurs doivent compléter une lettre d’appui.
Le membership de Green Marine Europe regroupe des participants, des partenaires, des supporteurs et des associations, engagés à continuellement réduire leur empreinte environnementale par un processus d’amélioration continue, à bâtir des relations fortes avec les intervenants et à faire connaître les activités de l’industrie maritime et ses avantages environnementaux.